« BIKOUE NKOU est passé aux aveux et reconnait avoir fait des incantations sous le couvert d’une secte répandue au Lycée bilingue de Kribi par BOMBE, baptisée « Vendeur de Rêves ».
C’est l’histoire d’une secte dénommée « Vendeur de Rêves, dont le gourou qui répond au nom de ENGOGONA ou MAMONG a tissé son nid dans le campus du Lycée Bilingue de Kribi grâce à l’entregent des élèves BOMBE Félix (1ère D3) BIKOUE NKOU Gédéon (3e Italien).
« En voulant prendre le recul l’esprit maléfique est réapparu en proférant un avertissement pour non-respect des clauses », souligne le rapport d’une enquête interne ouverte par le lycée bilingue de Kribi citant un Inspecteur police dont le fils BIKOUE NKOU se trouve englué dans cette association.
Il se passe qu’au moi de décembre dernier l’élève BIKOUE NKOU a reçu de son gourou la somme de 1 million de francs CFA qu’il a dilapidée dans les boites de nuits et restaurants de la ville.
Pour bénéficier des bienfaits du béninois, il suffit de faire des incantations et à servir l’esprit de ENGOGONA. En contrepartie le membre reçoit, selon on vœu, le porte-monnaie magique, le pouvoir de séduction, etc. Concrètement, le membre frotte un billet sur le front, puis le garde sous son oreiller. Le lendemain il trouve le même billet multiplié par le chiffre demandé pendant l’incantation.
« Tu croyais que c’est gratuit ? » en fait la réponse sèche de BOMBE Félix à son camarade BIKOUE NKOU tranche nette. En contrepartie de l’argent reçu le membre doit sacrifier des vies humaines. BIKOUE NKOU Gédéon a refusé de donner sa maman, par conséquent son pied droit prend du volume.
Cette crise qui secoue la ville portuaire de Kribi a établi que les élèves BOMBE Félix et BIKOUE NKOU « sont en contact permanent avec les esprits béninois pour une aisance financière », souligne le rapport commis par le Lycée Bilingue de Kribi.
Du conseil de discipline il ressort que les élèves du lycée ont été réunis spécialement pour être informés et les sensibiliser sur cette secte maléfique et ses méfaits, que les deux élèves suscités sont pris en charge psychologiquement par leurs parents, que la compagnie de gendarmerie de l’Océan a été commise pour mener une enquête approfondie sur cette histoire.
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