
Certains pays sollicitent le concours de l’ONU pour imposer l’homosexualité à d’autres sous le prétexte que condamner cette pratique constitue une atteinte aux droits humains.
L’homosexualité, c’est-à-dire la sexualité contre nature qui promeut les relations sexuelles entre des individus de même sexe, est une absurdité occidentale qu’ils veulent faire avaler par les États encore pur.
Lors de la Coupe du Monde #Qatar2022, le monde a été ébloui par l’attitude irrespectueuse et défiante de l’équipe d’Allemagne d’imposer le port des symboles LGBT dans ce pays où les mœurs ne tolèrent pas les déviances.
Les civilisations pour qui, au nom du respect des droits de l’homme, on doit laisser l’homme entretenir les rapports sexuels avec un autre homme de même sexe sont sorties de l’humanité et avancent dans une voie dont elles sont les seules à connaitre.
Elles sont comme l’éclair qui se balade dans le ciel en quête d’un arbre qu’il va abattre pour apaiser sa colère morbide. Les États qui sanctionnent encore cette culture devraient plutôt durcir leurs lois, et frapper durement les coupables.
Les États qui pensent que rejeter et sanctionner pénalement l’homosexualité est un acte discriminant, qu’il signifie porter atteinte à la dignité humaine, se trompent. Car les pays occidentaux qui veulent financer les États africains sur la base de leur dépénalisation de l’homosexualité recherchent un vivier de recrutement des proies pour satisfaire leur sale besogne.
L’homosexualité est une politique d’extinction de l’humanité. Ses adeptes ne font pas d’enfants, mais adoptent des enfants. Une absurdité absurde. Ces gens ne se soucient pas de la pérennité de l’espèce humaine car que sera le monde lorsqu’ils auront fini de faire de tous les hommes des homos comme eux, lorsqu’elles auront fini de faire de toutes les femmes des lesbiennes comme elles ?
Ces communautés, si elles existent dans les pays qui les interdisent, doivent plutôt s’amender pour devenir des personnes socialement irréprochables. L’Ouganda est le pays africain qui fait face au dilemme entre dépénaliser l’homosexualité et bénéficier l’aide des Etats-Unis pour lutter contre le VIH/SIDA ou alors maintenir la pénalisation et perdre l’aide proposée.
« La criminalisation, ainsi que l’omniprésence de la discrimination et de la violence, empêchent les personnes LGBTQI+ d’accéder aux services vitaux », dit l’ONUSIDA. Pure mensonge car les hôpitaux sont ouverts à tous et les personnels soignants ne mobilisent pas des populations pour leur faire part de la présence parmi les patients de personnes bizarres.
Que les gens restent loin de l’Afrique avec leur « Partenariat mondial pour l’élimination de la stigmatisation et de la discrimination liées au VIH ». Car ici ces pratiques sont sectaires et contre nature. Ce n’est pas l’homosexualité qui va permettre à l’humanité de construire « Un monde plus juste, équitable et bienveillant est plus sain, pour tout le monde ».
Augustin Roger MOMOKANA