Une réunion préparatoire de la visite de mobilisation des électeurs par le président national du PADDEC, Me MOMO Jean De Dieu, a eu lieu lundi 03 février à Dschang.
La commission électorale de campagne du PADDEC a suspendu lundi son activité du terrain pour plancher sur le séjour du ministre Momo Jean De Dieu dans le département de la Menoua.
Du 6 au 7 janvier, le président national du parti des Patriotes démocrates pour le développement du Cameroun (PADDEC) sera en campagne électorale dans le département de la Menoua en vue des élections législatives et municipales du 09 février.
Cette visite marquera la dernière phase de la campagne électorale démarrée le 25 janvier dernier. « Nous avons déjà fait un travail de fond, le président national viendra booster cela afin de convaincre les *derniers irréductible* », a expliqué Ndongmo Augustin à Sinotables.
La Menoua est le fief électoral de Me Momo Jean De Dieu, même s’il semble accorde une attention beaucoup plus soutenue à Douala 5e où il avait pu arracher remporter, en 2013, un fauteuil du conseil municipal sortant.
Pendant son séjour dans la Menoua, Le ministre délégué auprès du ministre de la Justice se rendra respectivement à Fongo-Tongo, Nkong-Ni et Dschang où le PADDEC est en course pour les municipales, et à Santchou, Fokoué et Penka-Michel également pour convaincre l’électorat à voter pour la liste des législatives conduite par Honorable (député suppléant de l’Honorable Nguefack Placide) Ngouné Hugues qui a craqué la porte du RDPC pour rejoindre le PADDEC.
Pour rappel, lors de ses différentes sorties sur le terrain, le PADDEC axe son message sur l’aménagement de la voirie urbaine, l’accès pour tous à l’eau portable, l’électrification accrue des zones enclavées, l’aménagement et l’entretien des voies de communications, l’accès aux soins de santé de qualité et une école plus citoyenne.
« Ce que nous disons à Dschang n’est pas ce que nous disons à Fongo-Tongo ou à Nkong-Ni. Chaque commune à ses difficultés spécifiques et notre parti compte apporter des remèdes qu’il faut aux problèmes spécifiques », explique Ndongmo.
Augustin Roger MOMOKANA