
les causes et les solutions envisageables pour prévenir la violence et la criminalité en société
Échec et violence scolaires ne sont plus, malheureusement, des exceptions mais, plutôt un sérieux problème qui nous pousse à s’interroger sur le futur profil de l’enseignement dans notre pays. Il faut le dire j’ai appris avec stupeur comme tout le monde la mort de ce jeune enseignant du lycée de Nkolbisson.
Toute perte en vie humaine est une perte pour l’humanité entière. Je coule une larme pour la famille de ce jeune professeur.
Ceci est une réflexion sur les causes et les solutions envisageables pour prévenir ce phénomène.
Dans la perspective de rendre l’école plus propice à l’apprentissage, notre société impose des modèles parfois importés qui au fonds ne sont pas mauvais mais, dans cette importation nous l’utilisons sans lire la notice c’est à dire sans étudier les revers de l’usage de ces méthodes.
Ce jour est inédit dans la vie des enfants du monde, car les États se sont engagés à construire un monde digne des enfants : la Convention relative aux droits de l’enfant est adoptée à l’unanimité par l’Assemblée générale des Nations unies.
La Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE)
C’est la première fois de l’histoire qu’un texte international reconnaît explicitement les moins de 18 ans comme des êtres à part entière, porteurs de droits sociaux, économiques, civils, culturels et politiques – des droits fondamentaux, obligatoires et non-négociables.
Le consensus est inédit : avec 195 États, c’est le traité relatif aux droits humains le plus largement ratifié de l’histoire. Et la bonne histoire dans tout ceci à ce jour, seuls les États-Unis et la Somalie n’ont pas signé cette convention.
Bien plus qu’un texte à forte portée symbolique, cette convention est juridiquement contraignante pour les États signataires, qui s’engagent à défendre et à garantir les droits de tous les enfants sans distinction et à répondre de ces engagements devant les Nations unies. Le Comité des droits de l’enfant des Nations unies, composé d’experts indépendants, contrôle la mise en œuvre de la convention, en examinant les rapports que les États s’engagent à publier régulièrement dès lors qu’ils ont ratifié le traité.
QUE CONTIENT LA CONVENTION DES DROITS DE L’ENFANT (CIDE) ?
La Convention comporte 54 articles, énonçant que chaque enfant a :
• le droit d’avoir un nom, une nationalité, une identité
• le droit d’être soigné, protégé des maladies, d’avoir une alimentation suffisante et équilibrée
• le droit d’aller à l’école
• le droit d’être protégé de la violence, de la maltraitance et de toute forme d’abus et d’exploitation
• le droit d’être protégé contre toutes les formes de discrimination
• le droit de ne pas faire la guerre, ni la subir
• le droit d’avoir un refuge, d’être secouru, et d’avoir des conditions de vie décentes
• le droit de jouer et d’avoir des loisirs
• le droit à la liberté d’information, d’expression et de participation
• le droit d’avoir une famille, d’être entouré et aimé ETC …
Ceci n’est qu’une ébauche du contenu de la convention comme si un parent a besoin de vivre avec une épée de Damoclès sur la tête avant de prendre soin de son enfant.
LE BASCULEMENT
La convention relative aux droits des enfants étant contraignante, nos enseignants et parents sont obligés d’utiliser d’autres méthodes autre que la bastonnade, on a privilégié d’autres méthodes jugées plus civilisées comme le dialogue sont mises en pratiques dans les établissements scolaires et à la maison. Ou on veut être plus proche de l’élève, l’aider à s’exprimer, à dépasser ses problèmes, lui tendre la perche au lieu de le battre.
Il faut l’avouer l’idée est à saluer mais, le résultat est une catastrophe pour le savoir il faut observer la société se demander si depuis la signature de ladite convention de New York comme on l’appel il y’a une diminution des pratiques violentes à l’école ou une augmentation ?
Les résultats parlent d’eux même.
VOICI POURQUOI ÇA N’A PAS MARCHÉ
En effet, habitué à être battu, l’élève se trouve soudain à l’abri de toute forme d’autorité, intouchable, adulé, au centre des occupations et objet d’un traitement délicat. Pour tout couronner nous autres parents prenons le partie de notre enfant face aux étrangers même lorsqu’ils sont en tort et au nom de cette foutue convention qui nous lies les mains et les cerveaux ainsi, l’enfant ce croit tout permit car, la seule autorité qui était censé le recadrer, lui démontre qu’il est tout permit et au nom du droit des enfants quoi qu’il fasse il aura toujours sa protection.
Nous nous retrouvons ainsi avec des élèves qui abusent de ces nouveaux acquis et en font un mauvais usage. Profitant de la loi d’impunité en poussant le bouchon trop loin au point, d’agresser et tuer leurs enseignants comme nous l’avons tous vécu ce jour triste du 14/01/2020 au lycée de Nkolbisson
Ils ont fini de prendre les noirs et les enfants mineurs en esclave et trouvent aujourd’hui que les enfants ont un droit et comme des moutons nous suivons et allons signer des conventions sans chercher à savoir ce que notre culture dit des droits des enfants. En Afrique, les enfants ont toujours eu des droits ne dit-on pas en Afrique que les enfants sont notre richesse il ne vient pas de moi cette citation « notre cœur est ou se trouve notre trésor »
PROPOSITIONS
Il sera inapproprié de soulever ses multiples problèmes sans en apporter des solutions. Ici je donnerais juste une partie des solutions car elles seront être exhaustives.
1 – Dans un premier temps, nos pays doivent sortir de la Convention relative aux droits de l’enfant cette solution semble radicale mais les gendarmes du monde(USA) n’ont pas signé cette convention ce qui pose un problème sur le plan éthique et le bien-fondé de cette loi il existe des enfants dans tous les pays du monde chaque peuple doit décider de comment éduquer ses enfants.
2 – Réintroduire la bastonnade au sein des familles et à l’école nos ainés nous bastonnait lorsqu’on posait un acte inapproprié nous ne sommes pas mort au contraire nous sommes des hommes forts et déterminer dans notre travail.
3 – Éloigner nos enfants des medias toxiques le plus loin possible pas de télévision à la maison à la limite des documentaires animaliers ou des documentaires sur la médecine les avancés de la médecine, la technologie, l’astronomie, des documentaires sur les réussites africains dans les domaines de la science tout sauf les films. Nous devons protéger leur esprit des perturbations.
4 – Privilégier les rencontre entre parent et les enseignants et chaque fois ou le parent va à l’école, il doit faire son fils savoir que le parent était à l’école tous les enfants sont intimidés face à cette attitude car, il se demande depuis quand l’enseigne et son parent son complice, il comprend rapidement qu’il est minoritaire tous les adultes complotent contre lui
5 – Les parents doivent suivent les évolutions des enfants à l’école et en plus du répétiteur’ maître de maison) Les parents doivent exercer le rôle de parent en contrôlant eux même les travaux des enfants.
6 – installer des détecteurs de métaux à l’entrée des écoles ou à défaut organiser des fouilles intempestives dans des écoles très simple à faire le surveillant général décide d’un jour où ils passeront dans une ou deux classes au hasard pour une fouille générale l’élève qui est attrape avec un objet interdit est traduit au conseil de discipline avec une convocation des parents.
7 – Le ministère de l’Éducation nationale doit publier un “guide pratique” de la violence à l’école. Ce guide doit donner, pour chaque acte interdit, la conduite à tenir par les autorités de l’établissement scolaire et la sanction à appliquer à l’élève têtu.
8 – L’enseignant doit savoir qu’il est de ses obligations de respecter l’élève, le traiter en tant qu’être humain doué d’une dignité et non moins important que lui chacun doit connaître son rôle.
9 – Redonner plus d’autonomie d’autorité et de leadership à l’enseignant.
10 – Éviter de signer un décret pour l’école, car on ne peut pas changer la société ou les comportements par décret.
11 – les lois doivent être votées et assorties des peines de privations de liberté des élèves mêmes mineurs sauf que dans ce cas, les Parents doivent être emprisonnés à la place des enfants mineurs qui commentent des délits punissables par la loi. Les parents seront obligés de contrôler les comportements de leurs problèmes (enfants) qu’ils déposent devant l’école chaque matin en allant au travail.
12 – Toutes sociétés doit avoir des psychologues sociaux et ses psychologues devraient faire des enquêtes sociaux afin de mieux comprendre certains comportements et proposer des solutions aux administrations de tutelles.
13 – les psychologues devraient intervenir régulièrement dans la formation des enseignants afin qu’ils soient formés en matière de psychologie de l’enfant, afin qu’ils soient familiarisés avec les difficultés et les différents troubles de personnalités que peuvent traverser un enfant.
14 – Ces mesures bien que dures, peuvent donner de bons résultats car, les parents dans ce cas vont être obligés de s’intéresser à leurs enfants pour leurs protéger et pour se protéger. L’attention sera double.
15 – le service militaire devrait être obligatoire aux enfants afin de leur donner l’importance qu’ils ont dans la nation et ils apprendront la discipline et le respect.
Nous devons tous prendre ce problème à bras le corps notre futur en tant que nation est en danger.
MERCI A VOUS TOUS !
Coach Ben
whatsapp wa.me/0022780358084, ou ligne direct 00237658570434
E-mail : benali3@gmail.com
www.startupane.com
la Tribune dans son intégralité NOS ENFANTS NE SONT-ILS PAS VENUS AU MONDE POUR PRÉPARER L’ULTIME COMBAT ?