« On peut gagner sa vie sans aller chercher des millions sales à Dubaï et plusieurs jeunes africains gagnent leur vie honnêtement. Vous trompez notre jeunesse et cela me choque. »
L’Affaire Dubaï Porta Potty choque l’Afrique. Jean-Claude MBEDE est très remonté contre les médias télévisuels africains. Pour cela Il engage les médias africains à cesser de faire la propagande de la « pourriture ».
Aux médias camerounais et ivoiriens, l’ancien promoteur de Radio Liberté FM à Yaoundé donne une injonction à donner la parole aux véritables modèles de la société et non plus à ces personnes qui incarnent l’anti-modèle.
« Dans tous les secteurs. De grands infirmiers, femmes de ménage, de jeunes prêtres qui acceptent d’aller vivre dans des villages, des policiers honnêtes, fonctionnaires intégrés, médecins, astronautes, ingénieurs, diplomates, … ils font des choses extraordinaires », rappelle l’Universitaire.
L’enseignant de communication et journalisme dans les grandes universités d’Europe balance, en passant, quelques noms de personnes à qui les émissions cultes de nos chaînes de télévision donnent la parole, au détriment de ceux-là qui accomplissent au quotidien des choses formidables pour transformer leur environnement.
«(…) je connais le pouvoir et la puissance de la télévision. Si vous ne changez pas, nous allons lancer votre boycott. Cessez de nous imposer des ordures à table », menace Jean-Claude MBEDE.
Selon l’Universitaire, la télévision africaine a choisi de faire la promotion du tape-à-l’œil. Ainsi les « influenceurs» sont de sortes de vecteurs d’images chatoyantes que la jeunesse raffole et copie sans mesure. Sur ces plateaux de télévision comme dans leurs blogs, ces personnes dont le train de vie frôle l’insolence racontent leurs sorties dans les pays du golf, partagent leur agenda par-dessus ministériel.
Il s’agit de ces femmes et hommes qui se rendent régulièrement dans certains pays dont Dubaï, le Liban, la Suisse, et le Maroc pour puiser de l’argent dans les seaux en se faisant nourrir de cacas et d’urine par des milliardaires à la recherche, sans doute, de poubelle d’un autre genre.
Quel plaisir un être humain a-t-il à faire ses besoins dans la bouche de son semblable ? Comment un individu douer de tous ses sens peut-il pousser sa cupidité jusqu’à accepter qu’un autre individu défèque dans sa bouche ? Les réponses ne seront jamais simples. Et ces influenceurs reviennent au pays, s’offrent un luxe insolent et déconcertant (appartements, voitures, vêtements, etc.) Leur vie inonde et envoûte la jeunesse.
« Je sais qu’il existe comme MOI-MÊME, des africains valeureux et capables de constituer de véritables modèles pour la jeunesse. » Pète Jean-Claude MBEDE.
A propos du Doubaï Porta Potty
Selon une publication sur les réseaux sociaux, le Doubaï Porta Potty « C’est un moyen très efficace de se débarrasser d’un sort ou d’un engagement mystique à condition de pouvoir le transmettre à un autre humain vivant et le concerné doit être consentant, voilà pourquoi ils préfèrent payer les filles et non les forcer. C’est une décharge spirituelle, ils consomment des potions et passent par des rituels avant la fameuse séance aux c*cas. Des gens renouvellent leurs contrats spirituels avec les démons en se débarrassant des anciens sur ces filles. Elles deviennent donc porteuses d’engagement qu’elles ne maîtrisent pas et soumises à l’application s de ceux-ci. C’est l’effet inverse avec les menstrues des filles, souvenez-vous, à un moment on parlait des hommes qui consommaient les serviettes hygiéniques des filles, là c’est une manière de puiser ce que ces filles ont comme vibration positives spirituelles et les leurs prendre. Contrairement aux menstrues qui sont signe de vie et de procréation les excréments représentent simplement un moyen de se débarrasser de ce qui est nuisible et inutile. Ces filles offrent et perdent donc plus que les quelques petits dollars qu’on leur donne. »
Augustin Roger MOMOKANA
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