
Cette chasse à l’amour impossible fait veiller et trembler la France entière. Cécile Duflot, ancien ministre, ne vit plus dans la paix, à cause d’un érotomane qui est décidé à monter dans son lit. Comment la France gère-t-elle ce dossier ? La justice semble ne pas être la solution. Certains proposent que cet amoureux du dimanche soit tout simplement castré.
« Sachez que je ne suis pas un violeur ni un agresseur sexuel, je voulais seulement avoir un enfant avec vous si vous étiez d’accord et je suis dégouté de comment vous avez réagi », dit un amoureux à une dame respectable.
L’amour rend vraiment fou ? Cécile Duflot, la jeune femme de 45 ans ne sait plus où donner la tête. Un homme amoureux court après elle depuis quelques années, malgré la prison que cela lui a coûté. Le degré de ce harcèlement sexuel échappe à tout entendement ordinaire.
« Depuis 3 ans un homme me harcèle par différents moyens. Il y a eu 3 procès, il est allé en prison. Il vient de rerererecommencer ». Ce Tirso de Molina des temps Modernes n’est pas prêt à abandonner la partie tant qu’il n’a pas encore bénéficié des largesses de madame la ministre. Et il le signifie très bien à sa dulcinée :
« Et si vous ne voulez pas que j’ai des sentiments pour vous, il ne fallait pas faire de politique, il ne fallait pas faire un métier qui fait que vous ayez une notoriété public. A partir du moment ou vous avez fait ce choix là, bah il ne faut pas vous étonner que ce genre de situation arrive », écrit le don juan à sa convoitise qui n’a pas publier son identité.
Cet homme ( ?) ne recule pas et promet de ne pas reculer malgré ce que cela pourra lui coûter. Tant que madame la ministre lui résistera, il sera à ses trousses.
« Si vous ne vouliez pas que j’insiste, vous n’aviez qu’à accepter d’avoir une relation avec moi », signe-t-il.
Cet homme est-il sain ? Cet homme souffre-t-il d’une pathologie ? Cet homme est-il simplement ébloui par une personne qu’il a rencontrée ? Cet homme a-t-il besoin d’aide ? La justice doit-elle condamner cet homme pour préserver la vie de madame la ministre ?
« Le pervers réfute le consentement de l’Autre et le construit à son aune. Il légitime ses pulsions par une culture de prédation (« draguer c’est aimer ») et d’objectification de la femme comme matrice. C’est incurable. Il faut l’extraire de la société. Oui, mais comment ? » Telle est la grosse interrogation qui hante la société française.
Ce qui est dit, Madame va devoir renoncer dès cet instant où elle a dévoilé son cas, « à une partie de vos libertés parce que notre société ne sait nous protéger de telles dérives individuelles ».
Augustin Roger MOMOKANA