Ecrit par Augustin Roger MOMOKANA
Il ne faut jamais mettre ses œufs dans un même panier. Nous les hommes devrons comprendre que posséder une plantation ne t’empêche pas d’avoir des jardins… Les vraies et bonnes solutions à un problème de notre vie s’inspirent toujours d’un plan B ou C.
La meilleure compagne se reconnaît dans les vieux jours. Peu importe à quel point l’homme est bon, les femmes aiment toujours leurs enfants plus que leurs maris. Et elles en récoltent tous les bénéfices car les enfants sont souvent plus proches et plus affectueux envers elles lorsqu’elles vieillissent…
Ainsi c’est devenu la mode…devenir célibataire à la retraite, accablé par les maladies résultant des sacrifices pour la réussite des enfants. L’homme s’est privé des plaisirs de la vie pour payer les frais de scolarité élevés et les frais de subsistance de ses enfants à l’étranger.
Ils sont maintenant aisés en Europe et en Amérique. Du coup sa femme, 60 ans, a déménagé pour vivre avec les enfants. Papa est seul au pays. Ses enfants l’appellent à peine. Il doit maintenant recommencer sa vie en tant que célibataire. Il souffre d’hypertension artérielle et d’autres maux. Même s’il recrute une nouvelle petite, ça va soigner la blessure ?
Au 21ème siècle avec toutes les révolutions, surtout sociales et féministes connues, la polygamie ne peut plus être ce qu’elle était au bon vieux temps. C’est regrettable, mais il ne faut jamais mettre ses œufs dans le même panier. C’est mieux que de s’encourager à mourir un jour comme un rat solitaire.
Ecoute ça ! Il dit que son oncle qui ne savait rien faire des travaux de ménage s’est suicidé quand les aînés ont décidé de faire partir le dernier enfant qui était à côté de lui, la mère était partie 3 ans avant ce dernier pour un check-up et n’étais plus revenue.
Ecoute l’autre avec sa part ! Le père VF est mort seul à l’hôpital, pourtant il avait plus de 10 femmes et plus d’une centaine d’enfants et petits petits-enfants. Les femmes et les enfants étaient préoccupés par autre chose qu’un vieux qui ne veut pas partir pour les laisser jouir de la belle vie.
Ah là là ! Dieu voit tout, jusqu’au cœur des enfants et des femmes qui demandent aux enfants de fuir leur père. Des pères qui refusent de prendre le bon risque. On ne pleure pas au marché !