Selon notre de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), les technologies numériques et les logiciels sur des algorithmes- les réseaux sociaux en occurrence- constituent de véritables soucis pour le respect de la vie privée, et une porte ouverte pour la cybercriminalité, la cyberintimidation et le harcèlement.
Selon un nouveau rapport mondial de suivi sur l’éducation (GEM) publié jeudi par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), il est urgent de promouvoir non seulement « des lois et des réglementations qui garantissent un accès égal à l’éducation pour les filles et les protègent de la discrimination », mais aussi « d’investir davantage dans l’éducation et d’une réglementation plus intelligente des plateformes numériques. »
Les données de l’Institut de statistique de l’UNESCO affecte 35% seulement des diplômés en sciences, technologies, ingénierie et mathématique (STEM) à la gente féminine. 25% d’entre elles occupent des emplois dans les sciences, l’ingénierie et les technologies de l’information et de la communication (TIC).
En conséquence, le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Antonio Guterrez, appelle à davantage d’équipements et de soutien pour les filles dans le domaine des technologies de l’information et de la communication. Ceci afin d’accroître l’accès à l’internet d’un nombre important de femmes et de réduire ainsi la fracture entre l’homme et la femme. Cela aura pour corollaire l’accès d’un nombre important de femmes au travail.
« Les filles sur les réseaux sociaux sont beaucoup plus exposées à différentes formes de harcèlement. La cyberintimidation est beaucoup plus fréquente chez les filles que chez les garçons », a déclaré Mme D’Addio. « C’est quelque chose qui affecte leur bien-être, et leur bien-être est important pour l’apprentissage », conclue-t-elle.
Ainsi une exposition démesurée aux réseaux sociaux est sources de troubles mentaux et comportementaux et de nombreux autres troubles dont les performances scolaires ou académiques, les troubles d’alimentation, les fissures des relations familiales.
Avec ONU Info