L’Université de Dschang a été créée et organisée par le décret présidentiel N° 93/030 du 19 janvier 1993.
L’histoire de ce qui deviendra l’Université de Dschang commence en 1960 avec la création du Collège National d’Agriculture(CNA) qui plus tard deviendra l’ITA (1977). La même année, l’ENSA (ancienne ENCA- 1960, EFCA -1962) de l’Université Fédérale de Yaoundé) est détachée à Dschang et donne, avec l’ITA, naissance au Centre Universitaire de Dschang. En 1988 les deux établissements fusionnent pour donner naissance à l’Institut National pour le Développement Rural (INADER). Lors que l’Université de Dschang naît le 19 janvier 1993, l’INADER devient la Faculté d’Agronomie et des Sciences Agricoles (FASA).
L’Université de Dschang est depuis le 23 septembre 2015 sous le rectorat de l’économiste professeur Prince Roger Antoine Pépin Tsafack Nanfosso.
Elle encadre environ 32 000 étudiants Camerounais et étrangers (2017). Ils sont suivis par 471 enseignants-chercheurs permanents, 49 attachés d’enseignement et 711 personnels d’appui.
• O8 établissements
Faculté des Lettres et Sciences humaines (FLSH) Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FSEG)
Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP)
Faculté des Sciences (FS)
Faculté d’Agronomie et des Sciences Agricoles (FASA)
Institut Universitaire des Technologies Fotso Victor (Bandjoun)
Institut des Beaux-arts (Foumban)
Faculté de Médecine et des Sciences pharmaceutiques
• Huit antennes à travers le pays
Bambui (Nord-Ouest)
Belabo (Est)
Ebolowa (Sud)
Maroua (Extrême-Nord)
Nkolbisson (Centre)
Bafia (Centre)
Foumban (Ouest)
Bandjoun (Ouest)
Cette représentativité territoriale vaut à l’Université de Dschang son pseudonyme de « la plus nationale » des universités. A ce jour, elle demeure la seule université d’Etat installée dans une capitale départementale.
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Ce logotype a été conçu par le recteur Enow Belinga. il conservait les esquisses et les originales dans ses bureaux à Yaoundé.
En décidant d’offrir au Cameroun des « jeux éclatés », les autorités de l’État confirment leur souci de faire rayonner cette institution à la pointe de l’émergence de notre pays.
Augustin Roger MOMOKANA