Ecrit par Augustin Roger MOMOKANA
Murielle Olivia dit qu’un bébé de 2 ans a été violé à mort. C’est la fin du monde dont parlent les Témoins de Jéhovah ! @MZognie, les matériaux collectés nous ont permis de créer le texte que nous vous invitons de lire. Il s’agit d’un regard critique sur les perceptions du viol.
Qu’est-ce qui ce passe même dans la tête des gens ? Ça devient même quoi nor?! Un bébé de 2 ans que quelqu’un a violé jusqu’à elle est décédée. On ne peut pas vivre dans une société aussi sauvage et ne rien faire du tout. Demander des précisions est-il un péché ? Mais c’est quoi c’est sociopath ?
Beaucoup de sorciers ici dehors qui pensent que la femme est toujours fautive. Samory Touré, sur la prédiction de ses marabouts, fit piler dans le mortier son bébé par la mère elle-même. C’est le parent qui a exposé son bébé comment ? Une femme provoque son propre viol comment ? Il faut arrêter de faire l’apologie du viol.
Certains ont creusé leurs tombes malgré les nombreux avertissements sur de l’argent facile. Il n’y a pas de feu si au préalable il n’y a pas d’allumettes. Le viol qui a lieu sur une personne est le résultat d’un homme qui aura été extrêmement séduit par des femmes mal habillées. Mais il n’y a aucune raison et aucune de viol.
Ça devient même quoi nor?! Des violeurs en puissance. Des vi*oleurs masqués et des proxénètes. Même si une femme adulte marche nue dans la rue, ça ne donne aucune raison à qui que ce soit de la violer. Mais les filles doivent éviter des choses qui pourraient les mettre en cible.
On doit vraiment faire très attention car, si tu laisses ton sac dehors sans surveillance il va se faire voler. Et si tu te fais violer on va dire que tu as cherché. Voyons comment faire de ce monde un endroit sans sauvagerie. Ce genre d’être vivant mérite les pires sévices.
Certains hommes sont de gros malades. Il faut en finir avec ces satanistes. Que cela arrive même à mon pire ennemie. Des fois Ce sont même les forces de l’ordre qui accusent les victimes durant les enquêtes. Ils vont te demander les « preuves ».
Augustin Roger MOMOKANA