Retrouvons-nous au Festival Afrodram’art. Un rendez-vous à ne pas manquer. 1er au 06 Déc. A l’AFC Dschang.
Le ton monte, les pulsions montent, les papilles chancellent déjà, à quelques heures de l’ouverture du Festival Afrodram’art qu’abrite la ville de Dschang. Cela faisait deux ans qu’il avait disparu et le voici de retour et aux galops.
Le Festival Afrodram’art ouvre ses rideau ce 1er décembre, c’est-à-dire dans quarante-et-huit heures précisément ; toutes les attentions, toutes les émotions sont cristallisées l’Alliance Franco-Camerounaise de Dschang qui abrite ce rendez-vous bouffon qu’Hector et sa bande offrent à la ville universitaire.
D’abord, ce festival revient après deux saisons d’hibernation. Sans doute le temps qui a permis à son organisateur de le redimensionner, de lui trouver une ossature qui en fasse un véritable lieu de brassage pour toutes les couches de la population. Nous l’espérons.
Ensuite, nous constatons que les communicants qui envahissent la toile et l’espace public à Dschang mettent un point d’honneur sur des activités qui ciblent plus la jeunesse : bole, l’humour, la danse, la musique et la gastronomie. Les gars ont la rage de manger.
De plus ce rendez de l’Alliance Franco-Camerounaise de Dschang court jusqu’au 5 décembre. Cinq journée folles offertes aux public pour de se nourrir à satiété sous la houlette d’un groupe de jeunes artistes dégantés qui ont décidé de faire de Dschang une ville différente.
Enfin, nul doute que Hector, Herby Herbal, Tombé, Herman Labou, et les autres ont une programmation qui tienne en alerte la cité en cette veille de fêtes de fin d’année et de Nouvel An.
Pour recevoir la programmation de Afrodram’art,
Augustin Roger MOMOKANA