
Les nouveaux responsables nommés à la FMSP de l'UDs
Il y avait fête à Dschang vendredi après-midi. Le recteur de l’Université de Dschang a installé dans leurs nouvelles fonctions les 33 responsables récemment nommés par le ministre de l’Enseignement supérieur (MINESUP).
« Vous êtes une partie du sel qui donne du goût à notre dynamique collective ». Ceci souligner le rôle que chaque acteur est appelé à jouer en vue du résultat collectif. Cérémonie d’installation de responsables nommés.
33 personnalités pour 35 positions. La Salle des Conférences était pleine à craquer vendredi 16 mars 2018. Autorités universitaires, le préfet de la Menoua (Mme le Premier Adjoint) et son état- major au grand complet, responsables de l’université, les heureux responsables nommés, les familles. L’ambiance était des grands jours.
Dans son discours d’installation, le professeur Roger Tsafack Nanfosso, recteur de l’Université de Dschang, a expliqué qu’il tentait de donner deux principales justificatifs à l’acte du MINESUP : d’abord la volonté de faire avancer le fonctionnement de la Faculté de Médecine et des Sciences pharmaceutiques (FMSP), et ensuite le souci de faire vivre pleinement l’école doctorale de cette institution. A ceux-ci le recteur a ajouté que des ajustements étaient nécessaires au niveau rectoral.
Aux responsables promus aux fonctions équivalentes à celles de Directeur de l’administration centrale, sous-directeur, et chef de services, le Professeur Roger Tsafack Nanfosso a prescrit le travail en équipe, pour rentrer dans l’esprit de la « dynamique collective ».
« Ne faites jamais cavalier seul. Entourez-vous de la force de ceux qui sont autour de vous », leur a-t-il lancé, ajoutant que c’est cette « volonté de travailler ensemble » qui produira « les résultats que toute la société attend de nous ».
Cette occasion a permis au Doyen de la Faculté de Médecine et des Sciences pharmaceutiques d’accueillir ses nouveaux collaborateurs (trois vice-doyens et six chefs de départements). Ce qui a fait dire au recteur que l’accélération du processus de mise en marche de cette faculté permet de lui donner tous les moyens nécessaires pour fonctionner et se positionner comme meilleure au Cameroun, et en Afrique Centrale, tout comme l’Université de Dschang dont elle dépend. Il est revenu sur les différents textes pour souligner l’ « étonnante rapidité » avec laquelle cet établissement est mis en route.

Augustin Roger MOMOKANA