La recherche n’a pas fini de dévoiler ses craintes sur la qualité des vaccins administrés aux humains dans la cadre de la lutte contre le coronavirus. Non seulement elle s’en alarme, mais aussi sa dernière étude expose la cupidité de l’industrie pharmaceutique et de certains Etats. Les projets de recherches expérimentaux n’ont pas respecté le code d’éthique dans la mesure où ils ont été appliqués sur les êtres humains.
« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ; Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition;» (extrait art. 1, Code de Nuremberg, 1947).
Acquérir et administrer des vaccins aux populations sans analyses nécessaires préalables est une faute de santé publique. A cet effet elle peut exposer les gouvernants à des poursuites judiciaires pour complicité d’empoisonnement et d’atteinte à la vie d’autrui. Des manquements sanctionnés par le Code de Nuremberg. Les spécialistes de l’éthique médicale sont convoqués aussi bien par les avocats des « victimes » que par des organisations de défense des droits de l’Homme.
Dans le cadre de la pharmacovigilance vaccinale, le projet Global COVID Vaccine Safety (GCoVS), créé en 2021 dans le cadre de la multinationale Global Vaccine Data Network™ (GVDN®), a permis d’évaluer le risque d’éléments indésirables d’intérêt particulier (AESI) suite à la vaccination contre le COVID-19 sur 10 sites répartis dans huit pays qui sont le Canada, l’Argentine, l’Australie, le Danemark, la Finlande, la France, la Nouvelle-Zélande et l’Écosse.
« Nous nous sommes concentrés sur trois vaccins qui ont enregistré le plus grand nombre de doses administrées, les vaccins Pfizer/BioNTech BNT162b2, Moderna mRNA-1273 et Oxford/Astra Zeneca/Serum Institute of India ChAdOx1. », affirme l’équipe de Global Vaccine Data Network dans son rapport publié in vaccine.
L’étude a été effectuée auprès de 100 millions (99 068 901 personnes) appartenant aux tranches d’âge de 20 à 39 ans et de 40 à 59 ans. Ces personnes présentent des effets irréparables. Elle a révélé chez les vaccinés la présence de la myocardite, de la paralysie de Bell, des convulsions, de la péricardite et du syndrome de Guillain-Barré chez les personnes vaccinées. Les ces derniers sont des patients hospitalisés, des combinaisons de patients hospitalisés et ambulatoires aux urgences et des patients clairement définis dont la durée du contact avec l’hôpital a été utilisée comme indicateur. La période d’étude s’est étendait de décembre 2020 à août 2023.
« Les affections neurologiques sélectionnées comprenaient le syndrome de Guillain-Barré (SGB), la myélite transverse (TM), la paralysie faciale (de Bell), l’encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM) et les convulsions (convulsions généralisées (GS) et convulsions fébriles (FS)). Les affections hématologiques comprenaient la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST), la thrombose de la veine splanchnique (SVT) et l’embolie pulmonaire (EP) ; La thrombocytopénie et la thrombocytopénie immunitaire (PTI) ont été détectées», souligne le rapport. Ces symptômes apparaissent 42 jours après l’administration des vaccins.
Soulignons que le projet GCoVS, lancé en 2021, est une collaboration mondiale financée par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d’enquêteurs et de sources de données de plusieurs pays dans le but de surveiller la sécurité des vaccins contre la COVID-19.
Avec ce qui s’est passé il serait nécessaire d’être prudent face aux vaccinations. Les Etats doivent mettre l’humain devant l’argent.
Augustin Roger MOMOKANA